24 octobre 2008
je préfère ces relations à distance. Finalement
je préfère ces relations à distance. Finalement la solitude ne me pèse pas : elle se meuble d'échanges succints, de message et de virtuel. Une nuit parfois, qui me recharge, qui me rassure. je ne veux plus des contraintes, de quotidien.
Jamais je n'ai été si libre, si épanouie, si volatile. Légère et versatile, je butine, je choisis et ma sincérité jamais n'est mise à mal. Pas de compte à rendre, pas de mensonge.
Je me nourris des autres, je prends, je donne, je n'ai pas de dû.
Je suis heureuse, il m'aura fallu 40 ans pour le dire, et malgré les slaloms